Début 2011, les départs forcés des présidents tunisien Zine El-Abidine Ben Ali et égyptien Hosni Moubarak ont permis de mettre en lumière l’ampleur de leurs malversations.
Début 2011, les départs forcés des présidents tunisien Zine El-Abidine Ben Ali et égyptien Hosni Moubarak ont permis de mettre en lumière l’ampleur de leurs malversations.