Il y a des années, le théologien costaricien d’origine allemande, Franz Hinkelammert, a résumé en deux mots cette abondance routinière de cadavres ramassés dans les mers et les déserts aux frontières de l’Occident : « génocide structurel ».
Il y a des années, le théologien costaricien d’origine allemande, Franz Hinkelammert, a résumé en deux mots cette abondance routinière de cadavres ramassés dans les mers et les déserts aux frontières de l’Occident : « génocide structurel ».