Global : Nouvelle étape dans l’affaire des "biens mal acquis"
18.09.2009
Il faudra attendre jusqu’au 29 octobre pour savoir si, oui ou non, les chefs d’Etats africains soupçonnés de détournement de fonds publics feront l’objet d’une enquête judiciaire en France. C’est ce que vient de faire savoir la chambre d’instruction, chargée d’examiner l’appel introduit par le parquet de Paris. La plainte vise, entre autres, les présidents congolais Sassou Nguesso, gabonais feu Omar Bongo Ondimba, et équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, dont le patrimoine immobilier en France s’élèverait à 160 millions d’euro, selon Transparency International France (TI), à l’origine de la plainte.