Les différentes (et nombreuses) réactions ayant suivi la diffusion par l’hebdomadaire Maroc Hebdo International, le 2 novembre 2012, de son dossier le « Péril noir »[1] sont révélatrices d’un malaise et d’une difficulté à appréhender non seulement la présence des étrangers au Maroc, mais égalemen